IT294 vs IT295 / 296 / 297 : pourquoi passer au nettoyant freins rechargeable ?

L’IT294 : simple, rapide, mais limité

Le format aérosol, c’est ce que tout le monde connaît. Tu prends la bombe, tu pulvérises, tu nettoies, et c’est terminé. Aucun matos à prévoir, pas de préparation. C’est direct, efficace, et accessible à tous.

Mais ce côté pratique a un revers. L’aérosol est à usage unique. Une fois vide, il finit à la poubelle. Quand tu en consommes beaucoup, ça fait :

• du gaspillage,

• des déchets à gérer,

• et zéro solution de recharge.

Pour les petits dépannages ou les interventions nomades, ça passe. Mais en atelier, dès que les volumes montent, ça devient une solution peu rentable et peu durable.

IT295, 296, 297 : même efficacité, mais approche intelligente

Les versions bidon, c’est exactement la même formule nettoyante. Pas moins puissante, pas moins efficace.
La vraie différence, c’est la manière de l’utiliser.

Tu transvases le produit dans un pulvérisateur rechargeable, ou tu l’appliques directement au pinceau. Et là, tout change :

• Tu n’as plus de bombes à jeter.

• Tu peux choisir ton mode d’application (pression, jet fin, brosse...).

• Et tu maîtrises ta consommation, surtout si tu bosses à plusieurs.

C’est la solution parfaite pour les pros qui tournent toute la journée et veulent optimiser à la fois leurs coûts et leur logistique.
Et avec le bouchon verseur IT298 pour le bidon 5L, même le remplissage devient rapide, propre, sans pertes.

Pourquoi ça vaut le coup

Si tu travailles seul, que tu n’as pas besoin de gros volumes, l’IT294 reste pratique.
Mais si tu gères un garage, une flotte, ou simplement que tu consommes plusieurs bombes par semaine, les IT295 / 296 / 297 deviennent vite plus rentables.

Moins cher. Moins de déchets. Moins de ruptures. Plus pro.

Conclusion

L’IT294 répond à un besoin ponctuel : rapide, prêt à l’emploi, zéro installation.
Mais les bidons rechargeables, eux, répondent à une logique d’atelier : efficacité sur la durée, économie réelle, et impact réduit.

Passer de l’aérosol au bidon, ce n’est pas juste une question de format. C’est un changement de logique : plus propre, plus rentable, plus responsable.